On a prévu large pour avoir le temps de faire la route, faire le plein, rendre la voiture, vider la voiture de tout (j'ai réussi à perdre la clé USB avec toutes nos musiques / histoires pour le voyage, alors que je l'avais sortie la veille en disant "comme ca on ne l'oubliera pas dans la voiture"... très bien, je ne sais absolument pas ce que j'en ai fais!).
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| Relax sur la moquette avant le départ |
L'enregistrement est bien moins bricolé qu'à Marseille, mais il y a beaucoup plus de monde (mais des gens nous laissent passer quand Solveig se mets à hurler... non, je ne l'ai pas pincée!), et on peut poireauter tranquillement dans le terminal (pas de Tim Horton, sniff!).
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| Mattéo ne dort pas, mais a justement fermé les yeux pour la photo! |
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| Un bel aquarium dans le terminal... |
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| Des avions par les baies vitrées |
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| Un Mattéo survolté pour le départ! |
Voyage plus tranquille qu'à l'aller, je peux regarder deux films (j'aurais peut être du dormir?), Solveig accepte de dormir un chouilla plus dans son lit cage (et les règles de sécurité de Air Canada sont encore différentes de celles de Lufthansa - ou celle de Air France ou Singapore Airlines d'il y a 2 ans, il n'y a même pas de ceinture pour le bébé!
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| Je n'ai osé refermer le tout qu'une fois Solveig endormie.... |
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| Il n'y a que la tête de Kiwi qui dépasse |
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| Mattéo capitule |
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| Sören un peu moins |
Changement à Francfort (avec des douaniers bien organisés, sérieux, efficaces), l'avion pour Marseille part en retard pour cause de passager non embarqué (et il faut debarquer sa valise), puis on part en roulant... et on roule jusqu'à un parking car un passager s'est senti mal, donc après son évacuation - ainsi que celle des 3 personnes l'accompagnant, et la sortie de leurs bagages... - on fini par décoller!
Mais papa, qui nous récupère à Marseille, est au courant, et arrive à s'adapter!
À l'arrivée, on a droit aux douaniers francais qui papotent entre eux se moquant de la file d'attente, mais probablement qu'ils sont au courant que ca ne sert à rien de se presser, les bagages n'arriveront de toutes facons pas trop vite (peut être que les bagagistes discutent aussi tranquillou? l'histoire ne le dit pas!).
Pfiou, nous voilà de retour! (mais on n'a pas fini de voyager pour profiter du congé parental!)
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