Lever 4h50 pour que Jérôme se rase (!!), on remballe le reste de nos affaires et on descend au petit dèj vers 5h25: ce matin, pas de jus de fruit frais ni d'omelettes à la demande... mais bon, en principe le buffet n'ouvre qu'à 6h30!
On part pour l'aéroport un peu avant 6h, il n'y a pas encore de bouchons, donc ça va plus vite que d'habitude.
Comme seuls les passagers ont le droit de rentrer dans l'aéroport, on laisse Harka à l'entrée une fois que les portes ont ouvert. Harka a bien fêter la nuit dernière la fin de sa saison et nos pourboires, il a une haleine alcoolisée!
Une fois rentrés et passés au premier contrôle, on poireaute encore 30min avant que les guichets d'enregistrement n'ouvrent, puis une fois ouverts, c'est long: en effet, il semble y avoir une panne informatique, et les guichetiers doivent tout remplir à la main!!
On passe ensuite la douane pour ressortir du Népal, puis encore un contrôle de sécurité avec fouille de nos sacs cabine, notre billet est tamponné de multiples fois (et j'ai de l'encre plein les doigts)... mais on fini par atteindre la salle d'embarquement, où il n'y a rien à faire.
Une fois dans l'avion, on attend longuement que les gens s'installent, puis le temps passe... les passerelles sont encore là... le commandant de bord nous annonce que le ciel / la piste sont „busy“... quelques passagers arrivent encore (des Népalais, avec a priori un contrat tout frais pour aller travailler 2 ans au Quatar sans rentrer chez eux entre temps), on attend encore... 10 min, encore 10... le retard s'accumule... au final, on fini part bouger vers 9h50 et décoller peu après 10h, soit avec une heure de retard.
Comme les billets ont été faits à la main, on n'a pas nos billets pour la correspondance à Doha, mais une fois arrivés là bas avec un vol tranquille, on est très bien aiguillés vers l'endroit où aller prendre notre avion pour Paris, et après quelques blabla pour avoir une place cote à cote avec Jérome, on arrive à embarquer (en se demandant si nos bagages suivront... puisqu'on a à peine une heure entre l'atterrissage et le décollage suivant).
Mais arrivés à Paris, tous les bagages sont là, on quitte le groupe, et on retrouve papa qui est venu nous chercher à Roissy.
Un bien sympathique voyage, que je conseille à qui aime marcher et s'en mettre plein les mirettes, tout en ayant quand même quelques jours où on en a plein les pattes ;-)
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